Mais que cache la CNIL ? Des milices, un alinéa douteux, un point noir constitutionnel ?
mardi 19 avril 2005 :: Communiqués
Paris le 19 avril 2005 - Quelque peu contrainte et forcée par la Ligue ODEBI, [1] la Commission Nationale Informatique et Libertés (CNIL) a confirmé sur son site le 8 avril dernier qu'elle a autorisé le Syndicat des Editeurs de Logiciels de Loisirs (SELL) à utiliser des agents logiciels pour détecter, pister, menacer et poursuivre les internautes français présumés contrefacteurs. [2]